Dimanche 10 novembre 2019

Dimanche 10 novembre 2019

(28 octobre dans l’ancien calendrier.)

Péricopes de ce dimanche

Lecture de l’épître de saint Paul aux Galates (2, 16-20) :

Frères, sachant que ce n’est pas par les œuvres de la loi que l’homme est justifié, mais par la foi en Jésus Christ, nous aussi nous avons cru en Jésus Christ, afin d’être justifiés par la foi en Christ et non par les œuvres de la loi, parce que nulle chair ne sera justifiée par les œuvres de la loi. Mais, tandis que nous cherchons à être justifié par Christ, si nous étions aussi nous-mêmes trouvés pécheurs, Christ serait-il un ministre du péché ? Loin de là ! Car, si je rebâtis les choses que j’ai détruites, je me constitue moi-même un transgresseur, car c’est par la loi que je suis mort à la loi, afin de vivre pour Dieu. J’ai été crucifié avec Christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi.

Однако же, узнав, что человек оправдывается не делами закона, а только верою в Иисуса Христа, и мы уверовали во Христа Иисуса, чтобы оправдаться верою во Христа, а не делами закона; ибо делами закона не оправдается никакая плоть. Если же, ища оправдания во Христе, мы и сами оказались грешниками, то неужели Христос есть служитель греха? Никак. Ибо если я снова созидаю, что разрушил, то сам себя делаю преступником. Законом я умер для закона, чтобы жить для Бога. Я сораспялся Христу, и уже не я живу, но живет во мне Христос. А что ныне живу во плоти, то живу верою в Сына Божия, возлюбившего меня и предавшего Себя за меня.

Lecture de l’Évangile selon saint Luc (10, 25-37)

En ce temps-là, voici qu’un légiste se leva et dit à Jésus pour l’éprouver : « Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? » Jésus lui dit : « Dans la Loi qu’est-il écrit ? Comment lis-tu ? » Celui-ci répondit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée, et ton prochain comme toi-même ». Jésus lui dit : « Tu as bien répondu ; fais cela et tu vivras ». Mais l’autre, voulant être justifié, dit à Jésus : « Et qui est mon prochain ? » Répondant Jésus dit : « Quelqu’un descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba dans les mains de brigands qui le dépouillèrent, le rouèrent de coups et s’en allèrent, le laissant à demi mort. Il se trouva qu’un prêtre descendait par cette route : il le vit, changea de côté et passa. De même un lévite, arrivant à cet endroit, l’aperçut, changea de côté et passa. Mais un Samaritain qui faisait la route arriva près de lui : il le vit et son cœur se serra. Il s’approcha, pansa ses plaies et y versa de l’huile et du vin ; puis il le prit sur sa propre monture et le conduisit dans une auberge, où il prit soin de lui. Le lendemain, il prit deux deniers, les donna à l’aubergiste et dit : Prends soin de lui, et si tu dépenses quelque chose en plus, moi je te rembourserai à mon retour. Lequel de ces trois, à ton avis – demanda Jésus – s’est montré le prochain de la personne tombée aux mains des brigands ? » L’autre dit : « C’est celui qui lui a fait miséricorde ». Alors Jésus lui dit : « Va, et toi aussi, tu feras de même ! »

И вот, один законник встал и, искушая Его, сказал: Учитель! что́ мне делать, чтобы наследовать жизнь вечную? Он же сказал ему: в законе что́ написано? ка́к читаешь? Он сказал в ответ: возлюби Господа Бога твоего всем сердцем твоим, и всею душею твоею, и всею крепостию твоею, и всем разумением твоим, и ближнего твоего, как самого себя. Иисус сказал ему: правильно ты отвечал; так поступай, и будешь жить. Но он, желая оправдать себя, сказал Иисусу: а кто мой ближний? На это сказал Иисус: некоторый человек шел из Иерусалима в Иерихон и попался разбойникам, которые сняли с него одежду, изранили его и ушли, оставив его едва живым. По случаю один священник шел тою дорогою и, увидев его, прошел мимо. Также и левит, быв на том месте, подошел, посмотрел и прошел мимо. Самарянин же некто, проезжая, нашел на него и, увидев его, сжалился и, подойдя, перевязал ему раны, возливая масло и вино; и, посадив его на своего осла, привез его в гостиницу и позаботился о нем; а на другой день, отъезжая, вынул два динария, дал содержателю гостиницы и сказал ему: позаботься о нем; и если издержишь что более, я, когда возвращусь, отдам тебе. Кто из этих троих, думаешь ты, был ближний попавшемуся разбойникам? Он сказал: оказавший ему милость. Тогда Иисус сказал ему: иди, и ты поступай так же.

Paroles des Pères

Selon l’interprétation d’un ancien qui voulait interpréter la parabole du bon Samaritain, l’homme qui descendait représente Adam, Jérusalem le paradis, Jéricho le monde, les brigands les puissances ennemies, le prêtre la Loi, le lévite les Prophètes, et le Samaritain le Christ. Les blessures sont la désobéissance, la monture le corps du Seigneur, le « pandochium », c’est-à-dire une auberge ouverte à tous ceux qui veulent y entrer, symbolise l’Église. De plus, les deux deniers représentent le Père et le Fils ; l’hôtelier le chef de l’Eglise chargé de l’administrer ; quant à la promesse faite par le Samaritain de revenir, elle figurait le second avènement du Christ.

– Origène, Homélies sur Luc, 34, 3, SC 87, p. 403.

***

Jéricho est la figure de ce monde, où, chassé du paradis, c’est-à-dire de la Jérusalem céleste, Adam est descendu par la déchéance de sa prévarication, passant de la vie aux enfers : c’est le changement non pas de lieu, mais de mœurs, qui a fait l’exil de sa nature. Bien changé de l’Adam qui jouissait d’un bonheur sans trouble, dès qu’il se fut abaissé aux fautes du monde, il rencontra des larrons ; il ne les aurait pas rencontrés, s’il ne s’y était exposé en déviant du commandement céleste. Quels sont ces larrons, sinon les anges de la nuit et des ténèbres, qui parfois se travestissent en anges de lumière, mais qui ne peuvent s’y tenir ? Ils nous dépouillent d’abord des vêtements de grâce spirituelle que nous avons reçus, et c’est ainsi qu’ils ont coutume d’infliger des blessures : car si nous gardons intacts les vêtements que nous avons pris, nous ne pouvons ressentir les coups des larrons. Prenez donc garde d’être d’abord dépouillé, comme Adam a d’abord été mis à nu, dépourvu de protection du commandement céleste et dépouillé du vêtement de la foi : c’est ainsi qu’il a reçu la blessure mortelle à laquelle aurait succombé tout le genre humain, si le Samaritain n’était descendu pour guérir ses cruelles blessures.

Ce n’est pas le premier venu que ce Samaritain : celui qu’avaient dédaigné le prêtre, le lévite, Il ne l’a pas dédaigné à son tour. Ne méprisez pas non plus, à cause de ce nom de secte, Celui qu’en interprétant ce nom vous admirerez : car le nom de Samaritain signifie gardien : telle est sa traduction. Qui est ce gardien ? N’est-ce pas Celui dont il est dit : « Le Seigneur garde les petits (Psaume 114, 6) ? De même donc qu’il y a un Juif selon la lettre, un autre selon l’esprit, il y aussi un Samaritain du dehors, un autre caché. Donc ce Samaritain qui descendait – « qui est descendu du ciel, sinon Celui qui est monté au ciel, le Fils de l’homme, qui est au ciel » (Jean, III, 13) ? – voyant cet homme à demi mort, que personne jusque-là n’avait pu guérir (comme celle qui avait un flux de sang et avait dépensé toute sa fortune en médecins), s’est approché de lui, c’est-à-dire en acceptant de souffrir avec nous s’est fait notre proche et, en nous faisant miséricorde, notre voisin. « Et il pansa ses blessures, en y versant de l’huile et du vin. » Ce médecin a bien des remèdes, au moyen desquels il a coutume de guérir. Sa parole est un remède : tel de ses discours ligature les plaies, un autre les fomente d’huile, un autre y verse le vin ; Il ligature les plaies par tel précepte plus austère, Il réchauffe en remettant le péché, Il pique comme avec le vin en annonçant le jugement. « Et il le plaça, dit-il, sur sa monture. » Écoutez comment Il vous y place : « Il porte nos péchés et souffre pour nous » (Isaïe 53, 4). Le Pasteur aussi a placé la brebis fatiguée sur ses épaules (Luc 15, 5). […] « Et il a pris soin de lui », de crainte que malade, il ne pût observer les préceptes qu’il avait reçus.

Mais ce Samaritain n’avait pas le loisir de demeurer longtemps sur terre : il Lui fallait retourner au lieu d’où Il était descendu. Aussi « le jour suivant » – quel est cet autre jour ? Ne serait-ce pas celui de la résurrection du Seigneur, celui dont il est dit : « Voici le jour que le Seigneur a fait » (Psaume 117, 24) ? – « Il tira deux deniers et les remit à l’hôtelier, et il dit : prenez soin de lui. » Qu’est-ce que ces deux deniers ? Peut-être les deux Testaments, qui portent empreinte sur eux l’effigie du Père éternel, et au prix desquels sont guéries nos blessures. Car nous avons été rachetés au prix du sang (1 Pierre 1, 19), afin d’échapper aux ulcères de la mort finale. Donc ces deux deniers – encore qu’il ne soit pas déplacé de penser aussi aux pièces de ces quatre livres (c’est-à-dire les Évangiles) – l’hôtelier les a reçus. Lequel ? Peut-être celui qui a dit : « Je tiens cela pour de l’ordure, afin d’acquérir le Christ » (Phil, 3, 8) – pour avoir soin de l’homme blessé. L’hôtelier donc, c’est celui qui a dit : « Le Christ m’a envoyé prêcher l’évangile » (1 Cor. 1, 17). Les hôteliers sont ceux auxquels il est dit : « Allez dans le monde entier, et prêchez l’évangile à toute créature » ; et « quiconque croira et recevra le baptême sera sauvé » (Marc 15, 16) : oui, sauvé de la mort, sauvé de la blessure qu’ont infligé les larrons. Heureux l’hôtelier qui peut soigner les blessures d’autrui ! Heureux celui à qui Jésus a dit : « Ce que vous aurez dépensé en surplus, je vous le rendrai à mon retour ! » Le bon dispensateur, qui dépense même en surplus ! Bon dispensateur Paul, dont les discours et les épîtres sont comme en excédent sur le compte qu’il avait reçu ! Il a exécuté le mandat déterminé du Seigneur par un travail presque immodéré de l’âme et du corps, afin de soulager bien des gens de leurs graves maladies en leur dispensant sa parole. […] Quand reviendrez-vous Seigneur, sinon au jour du jugement ? Car bien que vous soyez partout sans cesse, vous tenant au milieu de nous sans être vu de nous, il y aura cependant un moment où toute chair vous verra revenir. Vous rendrez donc ce que vous devez. Heureux ceux qui ont pour débiteur Dieu ! [….]

Puisque nul n’est plus notre prochain que Celui qui a guéri nos blessures, aimons-Le comme Seigneur, aimons-Le aussi comme proche : car n’est si proche que la tête pour les membres. Aimons celui qui imite le Christ ; aimons celui qui compatit à l’indigence d’autrui de par l’unité du corps. Ce n’est pas la parenté qui rend proche, mais la miséricorde ; car la miséricorde est conforme à la nature : il n’est rien de si conforme à la nature que d’aider celui qui participe à notre nature.

– Saint Ambroise de Milan, Explication de l’Évangile selon Luc, VII, 73-84, trad. Tissot, SC 52, p.33-36.

***

Dans ce passage, saint Ambroise de Milan répond aux Novatiens. Novatien et ceux qui le suivaient reprochaient à l’Église d’admettre de nouveau, après qu’ils se soient repentis, les chrétiens qui avaient apostasié (qu’on appelait les lapsis) durant la persécution de Dèce au IIIe siècle. Novatien prônait une attitude intransigeante envers les lapsis car, s’il croyait que l’Église est la communauté des sauvés, il ne comprenait pas qu’elle était l’hôpital qui permet de sauver. De ce fait, il craignait que l’Église se trouve trouver contaminée par ceux qui avaient faibli si elle faisait preuve d’indulgence à leur égard et il leur refusait la communion comme si aucun pardon de Dieu n’était plus possible pour eux. Saint Ambroise de Milan affirme, dans son traité sur la pénitence, que l’image de Dieu que se font les Novatiens ne correspond pas à l’enseignement des Écritures. C’est à ce propos qu’il rappelle aux Novatiens le sens de la parabole du Bon Samaritain : 

Ceux-là, vous les excluez donc, ô Novations ? Qu’est-ce qu’exclure, en effet, sinon refuser l’espérance du pardon ? Pourtant, le Samaritain n’a point passé son chemin sans se soucier de l’homme que les brigands avaient abandonné à demi-mort. Il a soigné ses blessures avec de l’huile et du vin, en y versant d’abord de l’huile, pour adoucir. Il a chargé le blessé sur sa monture, et sur elle, il a transporté tous ses péchés. Et le berger non plus n’a pas dédaigné la brebis égarée. Vous dites, au contraire : « Ne me touche pas. » Vous dites, en cherchant à vous justifier vous-mêmes : « Il n’est pas notre prochain. » Vous êtes plus orgueilleux que ce légiste qui voulait mettre le Christ à l’épreuve. Car celui-là a dit : « Qui est mon prochain ? » Lui, il interroge, vous, vous niez. Comme le prêtre et le lévite, vous descendez et vous passez à côté de celui que vous auriez dû recueillir pour le soigner. Vous n’accueillez pas non plus dans votre hôtellerie celui pour qui le Christ a payé deux deniers et dont le Christ t’ordonne de te faire le prochain, pour que tu lui sois plus facilement miséricordieux. Car notre prochain, ce n’est pas celui que la similitude de nature a rapproché de nous, mais celui à qui la miséricorde nous a liés. Tu te rends étranger à lui en t’exaltant avec orgueil, inconsidérément enflé par ta pensée charnelle, et ne t’attachant pas à la Tête. Car si tu t’attachais à la Tête, tu comprendrais que tu ne dois pas abandonner celui pour qui le Christ est mort. Si tu t’attachais à la Tête, tu comprendrais que le corps tout entier, par un travail d’union plutôt que de séparation, progresse en croissance divine grâce au lien de la charité et à la rédemption du pécheur. Quand vous dépouillez la pénitence de tout fruit, dites-vous autre chose que ceci : Qu’aucun blessé n’entre dans notre hôtellerie, que personne ne soit guéri dans notre Eglise. Chez nous, on ne soigne pas les malades. Nous sommes en bonne santé, nous n’avons pas besoin de médecin. Car il dit lui-même : « Ce ne sont pas les bien portants qui ont besoin de médecin, mais les malades. »

– Saint Ambroise de Milan, La pénitence, trad. Roger Gryson, SC179, Livre I, ch. VI, 27-29, p. 75-79.

Saints célébrés ce dimanche selon le nouveau calendrier

Saints Éraste, Olympas, Hérodion, Sosipater, Quartus et Tertius, apôtres des septante (Ier s.) ; saint Oreste, médecin, martyr en Cappadoce (304) ; saint Mélios, évêque de Perse, martyr avec deux disciples (341) ; saint Space, martyr (362) ; saints Thibéry, Modeste et Florence, martyrs (IVème s.) ; saint Georges du Puy, évêque du Velay (Vème s.) ; saint Théostiricte ; saint Gobrien, évêque de Vannes (535) ; saint martyr Cоnstantin, prince de Géorgie (842), supplice du saint grand-martyr Georges (303) ; saints néo-martyrs de Russie : Niphonte (Vyblov), moine et martyr Alexandre (Medem) (1931), Procope, archevêque de Chersonèse, Denis (Chtchegolev), Jean (Skadovsky) et Pierre (Pavlouchkov), prêtres (1937), saint Augustin, archevêque de Kalouga, et avec lui Jean (Speransky), prêtre, Joannice (Dmitriev) et Séraphim (Gouchine), moines, Alexis (Gorbatchev), Apollon (Babitchev), Michel (Arefiev) (1937), Boris (Semenov), diacre, Nicolas (Smirnov) et Anne (Ostroglazov) (1930), Olga (Maslennikov) (1941) et Théoctiste (Tchentsov) (1942).

Synaxaire du hiéromoine Macaire selon le nouveau calendrier

Vie des saints apôtres Éraste, Olympas, Hérodion, Sosipater, Quartus et Tertius. Ces saints apôtres faisaient partie des Soixante-Dix Disciples du Sauveur. Saint Olympas et Rhodion (ou Hérodion), mentionnés par saint Paul dans l’Épître aux Romains (Rm XVI), ont tous deux suivi saint Pierre à Rome, où ils furent décapités lors de la persécution de Néron (64). Saint Sosipater, lui aussi mentionné par saint Paul (Rm 16, 21), devint évêque d’Iconium et mourut en paix. Tertios lui succéda sur ce siège et s’endormit à son tour dans la paix. Éraste (Rm 16, 21 et 2 Tim 4, 20), qui était trésorier de la ville de Corinthe, fut économe de l’Église de Jérusalem puis évêque de Panéas (Césarée de Philippe). Il acheva en paix son ministère apostolique. Quartos (mentionné dans la même lettre) devint évêque de Béryte. Ayant enduré un grand nombre d’épreuves pour la foi, il réussit à convertir la majeure partie des païens de sa ville, avant de s’en aller vers les demeures célestes.

Saints célébrés ce dimanche selon l’ancien calendrier

Sainte Parascève, martyre (III). Saint Térence et son épouse sainte Néonille, martyrs avec leurs enfants saints Sarbèle, Photos, Théodule, Hiérax, Nitas, Vilos et sainte Eunicée (249-250) ; saint Cyriaque, patriarche de Jérusalem, martyr (363) ; saint Térence, évêque de Metz (520) ; saint Faron, évêque de Meaux (669) ; saint hiéromartyr Néophyte, évêque d’Urbnisi (Géorgie, VIIème s.) ; saint Étienne le Sabbaïte, moine (794) ; saint Nestor l’analphabète des Grottes de Kiev (XIVème s.) ; saint Arsène, archevêque de Serbie (1266) ; saint Hyacinthe, métropolite en Dobroudja (1372) ;saint Job, abbé de Potchaev (1651) ; saint Dimitri, métropolite de Rostov (1709)  ; saints néo-martyrs de Russie : Jean (Vilensky), prêtre (1918).

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