Dimanche 20 octobre 2019

Dimanche 20 octobre 2019.

(7 octobre selon l’ancien calendrier.)

Péricopes de ce dimanche

Lecture de l’épître de saint Paul aux Corinthiens (2 Co. 9, 6-11) :

Frères, sachez-le, celui qui sème peu moissonnera peu, et celui qui sème abondamment moissonnera abondamment. Que chacun donne comme il l’a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte ; car Dieu aime celui qui donne avec joie. Et Dieu peut vous combler de toutes sortes de grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne œuvre, selon qu’il est écrit : Il a fait des largesses, il a donné aux indigents ; Sa justice subsiste à jamais. Celui qui Fournit de la semence au semeur, Et du pain pour sa nourriture, vous fournira et vous multipliera la semence, et il augmentera les fruits de votre justice. Vous serez de la sorte enrichis à tous égards pour toute espèce de libéralités qui, par notre moyen, feront offrir à Dieu des actions de grâces.

При сем скажу: кто сеет скупо, тот скупо и пожнет; а кто сеет щедро, тот щедро и пожнет. Каждый уделяй по расположению сердца, не с огорчением и не с принуждением; ибо доброхотно дающего любит Бог. Бог же силен обогатить вас всякою благодатью, чтобы вы, всегда и во всем имея всякое довольство, были богаты на всякое доброе дело, как написано: расточил, раздал нищим; правда его пребывает в век. Дающий же семя сеющему и хлеб в пищу подаст обилие посеянному вами и умножит плоды правды вашей, так чтобы вы всем богаты были на всякую щедрость, которая через нас производит благодарение Богу.

Lecture de l’Évangile selon saint Luc (8, 26-39)

En ce temps-là, Jésus et ses disciples abordèrent au pays des Gadaréniens, qui est en face de la Galilée. Comme Jésus descendait à terre, un homme de la ville, qui était possédé par des démons, vint à sa rencontre. Depuis assez longtemps il ne mettait pas de vêtement et n’habitait pas dans une maison, mais dans les tombeaux. Voyant Jésus, il poussa des cris, tomba à ses pieds et dit d’une voix forte : « Que me veux-tu, Jésus, Fils du Dieu Très-Haut ? Je t’en prie, ne me tourmente pas. » En effet, Jésus commandait à l’esprit impur de sortir de cet homme, car l’esprit s’était emparé de lui bien des fois. On le gardait alors lié par des chaînes, avec des entraves aux pieds, mais il rompait ses liens et le démon l’entraînait vers les endroits déserts. Jésus lui demanda : « Quel est ton nom ? » Il répondit : « Légion ». En effet, beaucoup de démons étaient entrés en lui. Et ces démons suppliaient Jésus de ne pas leur ordonner de s’en aller dans l’abîme. Or, il y avait là un troupeau de porcs assez important qui cherchait sa nourriture sur la colline. Les démons supplièrent Jésus de leur permettre d’entrer dans ces porcs, et il le leur permit. Ils sortirent de l’homme et ils entrèrent dans les porcs. Du haut de la falaise, le troupeau se précipita dans le lac et s’y noya. Voyant ce qui s’était passé, les gardiens du troupeau prirent la fuite ; ils annoncèrent la nouvelle dans la ville et dans la campagne, et les gens sortirent pour voir ce qui s’était passé. Arrivés auprès de Jésus, ils trouvèrent l’homme que les démons avaient quitté ; il était assis, habillé, et revenu à la raison, aux pieds de Jésus. Et ils furent saisis de crainte. Ceux qui avaient vu leur rapportèrent comment le possédé avait été sauvé. Alors toute la population du territoire des Gadaréniens demanda à Jésus de partir de chez eux, parce qu’ils étaient en proie à une grande crainte. Jésus remonta dans la barque et s’en retourna. L’homme que les démons avaient quitté lui demandait de pouvoir être avec lui. Mais Jésus le renvoya en disant : « Retourne chez toi et raconte tout ce que Dieu a fait pour toi. » Alors cet homme partit proclamer dans la ville entière tout ce que Jésus avait fait pour lui.

И приплыли в страну Гадаринскую, лежащую против Галилеи. Когда же вышел Он на берег, встретил Его один человек из города, одержимый бесами с давнего времени, и в одежду не одевавшийся, и живший не в доме, а в гробах. Он, увидев Иисуса, вскричал, пал пред Ним и громким голосом сказал: что Тебе до меня, Иисус, Сын Бога Всевышнего? умоляю Тебя, не мучь меня. Ибо Иисус повелел нечистому духу выйти из сего человека, потому что он долгое время мучил его, так что его связывали цепями и узами, сберегая его; но он разрывал узы и был гоним бесом в пустыни. Иисус спросил его: как тебе имя? Он сказал: легион, – потому что много бесов вошло в него. И они просили Иисуса, чтобы не повелел им идти в бездну. Тут же на горе паслось большое стадо свиней; и бесы просили Его, чтобы позволил им войти в них. Он позволил им. Бесы, выйдя из человека, вошли в свиней, и бросилось стадо с крутизны в озеро и потонуло. Пастухи, видя происшедшее, побежали и рассказали в городе и в селениях. И вышли видеть происшедшее; и, придя к Иисусу, нашли человека, из которого вышли бесы, сидящего у ног Иисуса, одетого и в здравом уме; и ужаснулись. Видевшие же рассказали им, как исцелился бесновавшийся. И просил Его весь народ Гадаринской окрестности удалиться от них, потому что они объяты были великим страхом. Он вошел в лодку и возвратился. Человек же, из которого вышли бесы, просил Его, чтобы быть с Ним. Но Иисус отпустил его, сказав: возвратись в дом твой и расскажи, что сотворил тебе Бог. Он пошел и проповедывал по всему городу, что сотворил ему Иисус.

 Paroles des Pères

Si les démons n’ont même pas autorité sur des porcs, à bien plus forte raison n’ont-ils pas autorité contre l’homme fait à l’image de Dieu.

– Saint Athanase, Vie d’Antoine, §29, SC 400, p. 217-219.

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Que le moine prenne courage contre les démons qui suggèrent la lâcheté, car vous n’avez pas reçu un esprit d’esclavage pour retomber dans la crainte (cf. Rm 8,15). Qu’il ne se recroqueville donc pas devant l’esprit de lâcheté, et qu’il ne craigne pas les vacarmes nocturnes des démons, vu qu’ils n’ont pas même autorité sur des porcs. Le soir, quand il sort de sa cellule, qu’il ne soit pas terrorisé jusqu’à fuir et sursauter en l’air comme si les démons étaient soi-disant à ses trousses, mais qu’il plie les genoux et prie au lieu même où il est saisi de lâcheté, car ils ne t’agresseront pas même s’ils te terrorisent. Quand tu te relèves, raffermis ton cœur et réconforte-le en psalmodiant : « Tu ne craindras pas les frayeurs de la nuit, ni la flèche qui vole de jour, ni ce qui s’avance dans les ténèbres, ni l’assaut du démon de midi. » (Psaume 90, 5-6) Ayant fait ainsi une fois, plusieurs fois, tu chasseras plus vite loin de toi le démon de la lâcheté.

Evagre, Traité à Euloge, §23, « Courage dans le combat ».

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« Nous voudrions voir Jésus », disaient quelques Grecs à l’apôtre Philippe. Et c’est là encore la prière que j’adresse au Saint-Esprit. Seigneur Esprit Saint, fais-moi voir Jésus !

Ce sont les purs de cœur qui verront Dieu. […] Cœur pur : cœur sans mélange, comme on dit d’un vin qu’il est pur. Cœur non-partagé, non-divisé. Intégrité préservée – ou recouvrée. L’impureté, au sens sexuel, n’est qu’une des formes de la désintégration. « Mon enfant, donne-moi ton cœur », disait la Sagesse dans l’Ancien Testament. Seul un cœur « donné » peut saisir Jésus. Mais donné sans retour. Entier, sans faille. L’un opposé au multiple. « Je m’appelle légion », répondait le possédé auquel Jésus demandait son nom.

Lev Gillet, Jésus, simples regards sur le Sauveur, Seuil, 1996.

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Jésus demande au possédé : « Quel est ton nom ? »

Il y a là plus qu’une simple question ; une thérapeutique est déjà incluse dans ces paroles. Car Jésus veut ramener le possédé, qui a parlé comme s’il ne faisait qu’un avec le démon, à la conscience de sa propre identité ; il veut lui rendre le sens de sa personnalité et de son indépendance. Chaque fois qu’un pécheur s’est enfoncé dans l’habitude jusqu’à sembler être dirigé par les puissances mauvaises, Jésus veut qu’avant toute autre chose le pécheur se dissocie de ces puissances et se souvienne de son nom propre, le nom que Dieu lui a donné : « Je t’ai appelé par ton nom, tu es à moi… » (Isaïe 43, 1). […]

De même, si nous nous laissons aller au péché, nous devenons « légion » ; nos instincts, nos images mentales, tous nos éléments psychiques acquièrent une indépendance chaotique ; la volonté affaiblie par chaque chute n’est plus en état de les ressaisir et de les coordonner ; notre personnalité entière se dissocie, se désintègre. Dieu seul peut rassembler et réparer ces fragments brisés. « Rassemble mon cœur… », comme nous le lui demandons dans le Psaume 86 (v. 11).

Lev Gillet, L’an de grâce du Seigneur : Un commentaire de l’année liturgique byzantine, Cerf, 1988.

Saints célébrés ce dimanche selon le nouveau calendrier

Saint Artème, grand-martyr à Antioche (362) ; saint Caprais, martyr à Agen (303); saint Sonnace, évêque de Reims (VIIème s.) ; saint Artème de Verkolsk, enfant (1545) ; transfert des reliques de saint Gérasime le nouveau, ascète dans l’île de Céphalonie (1579) ; sainte Matrone de Chio (XVème s.) ; saints néo-martyrs de Russie : Nicolas Lioubomoudrov, prêtre (1918) ; Jean Rodionov, archiprêtre ; Nicolas Figourov, Jean Gantchev, Léonide Nikolski, Alexandre Orlov, Zosime Pepenine, Jean Retchkine, Jean Talyzine, prêtres, Michel Isaev et Pierre Kravets, diacres, Paul Botcharov (1937).

Extrait du Synaxaire du hiéromoine Macaire

Saint Artème, grand martyr à AntiocheCe dimanche, nous faisons mémoire du saint et glorieux martyr du Christ Artème. Saint Artème vécut sous le règne de Constantin le Grand. De noble famille, il jouissait des faveurs de l’empereur, qui lui attribua les dignités de patrice et de duc augustal (gouverneur militaire) d’Alexandrie et de toute l’Égypte (vers 330). Mais ces honneurs ne lui firent pas perdre sa foi et son souci de répandre partout la Bonne Nouvelle du salut. À la mort de Constantin (337), l’Empire fut partagé entre ses trois fils. Constance, qui hérita de toute la partie orientale de l’Empire (de l’Illyricum à la Perse, la Palestine et l’Égypte), s’installa à Constantinople. Ayant appris que les reliques de l’Apôtre André se trouvaient à Patras (Péloponnèse) et celle de saint Luc à Thèbes (Béotie), il confia à saint Artème le soin de les transférer dans la ville impériale et de les déposer dans l’église des Saints-Apôtres.

Quelque temps après, Constance dut se rendre à Antioche avec son armée pour y combattre contre les Perses. Profitant de cette diversion, son cousin Julien s’empara de l’Empire d’Occident, que Constance avait annexé en 351, et voulut se faire proclamer empereur à sa place. Constance se mit aussitôt en route pour rétablir la situation, mais il mourut sur le chemin du retour, en Cilicie, n’ayant que le temps de recevoir le saint Baptême. Julien devint alors seul empereur (360), et il entreprit aussitôt de restaurer les anciens cultes païens, dont il croyait avoir été divinement institué nouveau prophète. Il envoya en tout lieu des édits ordonnant la restauration du culte des idoles dans les temples qui avaient été transformés en églises sous Constantin. Il interdit aux maîtres et rhéteurs chrétiens d’enseigner librement, et il fit asperger d’eau lustrale les marchés, afin de contraindre les habitants à ne manger que des aliments consacrés aux idoles, si bien que dans plusieurs endroits de l’Empire on vit fleurir à nouveau les palmes du martyre.

Julien l’Apostat s’installa à Antioche, afin de pouvoir continuer la guerre contre les Perses, et il demanda à tous les gouverneurs des provinces de venir le rejoindre avec leurs troupes. L’ordre parvint à Artème qui, fidèle aux autorités selon les recommandations de l’Écriture (Rm 13, 1-2), leva son armée et partit d’Alexandrie pour Antioche. À l’issue de ce long voyage, ils arrivèrent dans cette ville, où fut prononcé pour la première fois le nom de « chrétiens » (Act 11, 26), au moment où l’empereur faisait comparaître devant lui deux prêtres, Eugène et Macaire, pour les contraindre à renier leur foi et à se soumettre au culte insensé des dieux de l’empereur. Mais ceux-ci répliquaient bravement à tous les sophismes de Julien en proclamant la divine doctrine de la Rédemption. À court d’arguments, l’Apostat donna l’ordre de leur infliger cinq cents coups de verges. Révolté devant ce spectacle, Artème s’avança vers l’empereur et lui déclara : « Toutes tes machinations contre les chrétiens, que te suggère le diable, sont vaines et inutiles car, par la Croix du Christ, la puissance orgueilleuse des démons a été vaincue. Les dieux que tu adores sous le nom d’Hermès ou d’Apollon n’ont d’autre réalité que le bois ou le métal fondu de leurs statues inanimées. » La surprise de l’empereur se changea en fureur lorsqu’il apprit que celui qui s’adressait à lui avec une telle assurance était Artème le duc d’Égypte, qu’il soupçonnait d’avoir été l’instigateur de la mort de son frère Gaïus Constantin, césar pour l’Orient, lequel avait été assassiné sous les ordres de l’empereur Constance. Il commanda donc d’arrêter sur-le-champ Artème, de lui arracher les insignes de sa charge et de le faire comparaître devant lui le lendemain, afin que son audace soit châtiée. Sans aucun respect pour sa dignité, les soldats le ligotèrent et, après l’avoir roué de coups de fouet, ils le jetèrent en prison, tout meurtri, avec Eugène et Macaire. Plein de joie, Artème élevait sa prière vers Dieu en lui disant : « Je te remercie, Seigneur, de m’avoir rendu digne d’être soumis à la torture pour ton amour et d’être compté dans le chœur de tes saints. » Le lendemain, Eugène et Macaire furent envoyés en exil vers les régions hostiles de l’Arabie, où ils furent décapités quelque temps après (le 20 décembre) .

L’empereur se fit amener Artème et lui promit d’abord tous les honneurs dus aux familiers du souverain, et même la charge de grand prêtre de ses dieux, s’il acceptait d’abandonner la croyance de ceux qu’il nommait les « Galiléens ». De telles propositions ne pouvaient faire aucun effet sur le saint qui, avec le Christ, était déjà mort au monde et à ses illusions. Il lui sembla également inutile de faire une longue apologie du christianisme devant Julien qui avait reçu, dans sa jeunesse, une éducation chrétienne. Il se contenta de se disculper des accusations mensongères sur son rôle dans la mort de Gaïus, et d’affirmer à l’Apostat que rien au monde ne pourrait lui faire abandonner le roc de la foi. Il ne restait donc plus au despote impuissant qu’à exprimer sa rage par la torture. Il fit percer le corps du saint au moyen de broches rougies au feu. Mais à sa grande déception, pas un cri ni même un gémissement ne sortit de la bouche d’Artème. Le soir venu, le Christ lui apparut dans son cachot et le guérit de ses blessures. Réconforté par cette vision, Artème demeura quinze jours sans manger ni boire, debout, occupé jour et nuit à la prière et à la contemplation des mystères célestes.

Pendant ce temps, Julien s’était rendu à Daphni, aux environs d’Antioche, d’où il avait fait transférer les reliques de saint Babylas [4 sept.] dans un cimetière de la ville, en vue d’édifier à l’endroit de sa sépulture une statue en or d’Apollon et un temple consacré à son culte. Mais, une nuit, alors que les prêtres s’affairaient en sacrifices et prières instantes pour que le prétendu dieu daigne ouvrir sa bouche de bois et de métal pour proclamer son oracle, un feu descendit du ciel et ravagea entièrement le temple et la statue, sans que personne ne puisse l’éteindre. Rejetant la responsabilité sur les chrétiens, Julien fit alors fermer les églises qui avaient été récemment bâties, et il intensifia ses persécutions dans tout l’Empire. À Samarie (Sébaste), il ordonna de jeter au feu les reliques des prophètes Élisée et Jean-Baptiste. Dans la ville de Césarée de Philippe, il fit renverser la statue du Christ qui avait été confectionnée par l’Hémorroïsse . Il donna également l’ordre de laisser les Juifs reconstruire leur temple à Jérusalem (lequel avait été détruit en l’an 70) avec les fonds de l’État, afin de manifester la tromperie des prophéties du Christ sur la fin du culte de l’ancienne Loi. Partout les chrétiens étaient persécutés avec une cruauté inouïe. C’est alors que Julien fit sortir Artème de sa prison, décidé à mettre fin à ses jours et à son influence sur le peuple. Après avoir fait couper en deux un gros rocher qui se trouvait près du théâtre, il fit étendre le saint sur l’une des parties et ordonna de laisser retomber sur son corps l’autre moitié. Lorsque la pierre s’affaissa, tous purent entendre le bruit des os qui se brisaient. On laissa ainsi le saint martyr jusqu’au lendemain, pensant qu’il avait rendu l’âme. Mais quel ne fut pas l’étonnement du tyran, lorsqu’on souleva la pierre et qu’il vit cet homme dont les os étaient broyés, les entrailles répandues à terre et les yeux arrachés, continuer à se moquer des faux dieux et à se glorifier dans la Croix du Christ. Loin de se convertir devant ce prodige, Julien ordonna de le décapiter. Artème accueillit avec joie cette sentence, et éleva ses mains vers le ciel pour rendre grâce à Dieu et prier pour le salut de l’Église. Il se rendit seul jusqu’au lieu de l’exécution, se prosterna trois fois vers l’Orient, puis il présenta avec joie sa nuque au glaive du bourreau. Une pieuse et noble dame acquit par la suite le corps du saint martyr et le fit transporter à Constantinople où, pendant des siècles, il fut vénéré avec ferveur par les fidèles et accomplit d’innombrables guérisons.

Saints célébrés ce dimanche selon l’ancien calendrier

Saints martyrs Serge et Bacque (292) ; saints martyrs Julien, prêtre et Césaire, diacre, martyrs en Campanie (Ier s.), sainte Pélagie de Tarse (290), saint hiéromartyr Polychrone, prêtre (IVème s.), saint Jean, ermite en Crète (IVème s.), saint Armantaire, évêque d’Aix (Vème s.), saint Gustave (ou Auguste), abbé à Bourges (560), saint Palais, évêque de Saintes (596), saint Éthère, évêque de Lyon (602), saint Serge l’Obéissant, de la Laure des Grottes de Kiev (1412), saint Serge de Vologda (1412), saint Joseph de Khèvi (Géorgie, 1763) saint Jonas, évêque de Hankou (Mandchourie, 1925) saint hiéromartyr Nicolas (Kazanksy), prêtre (1942).

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