Dimanche 3 janvier – Dimanche avant Noël

Dimanche 3 janvier 2020.

(21 décembre selon l’ancien calendrier.)

Dimanche avant Noël, des saints Pères ou de la Généalogie du Christ.

 

 Synaxaire de ce dimanche selon l’ancien calendrier

Le dimanche avant la Nativité, les saints Pères ont institué de célébrer la généalogie de Notre Seigneur Jésus-Christ, en commémorant tous ceux qui, depuis Adam jusqu’à Joseph le Fiancé de la Mère de Dieu, ont annoncé la venue dans la chair du Fils de Dieu par leurs œuvres ou leurs paroles. C’est pourquoi aux ancêtres selon la chair, nous associons aujourd’hui les justes et les prophètes.

Péricopes de ce dimanche

Lecture de l’épître de saint Paul aux Hébreux (selon l’usage slave : 11, 9-10, 17-23, 32-40) :

Frères, c’est grâce à la foi qu’Abraham vint séjourner en immigré dans la Terre promise comme dans une terre étrangère, habitant sous des tentes, ainsi qu’Isaac et Jacob, les cohéritiers de la même promesse ; car il attendait la cité qui aurait de solides fondations, celle dont Dieu lui-même est la bâtisseur et l’architecte. Grâce à la foi, quand il fut soumis à l’épreuve, Abraham offrit Isaac en sacrifice. Et il offrait le fils unique, alors qu’il avait reçu les promesses et entendu cette parole : C’est par Isaac qu’une descendance portera ton nom. Il pensait en effet que Dieu est capable même de ressusciter les morts ; c’est pourquoi son fils lui fut rendu : il y a là une préfiguration. Grâce à la foi encore, Isaac bénit Jacob et Ésaü en vue de l’avenir. Grâce à la foi, Jacob mourant bénit l’un et l’autre des fils de Joseph, et il se prosterna, appuyé sur l’extrémité de son bâton. Grâce à la foi, Joseph, à la fin de sa vie, évoqua l’exode des fils d’Israël et donna des ordres au sujet de ses ossements. Grâce à la foi, Moïse, après sa naissance, fut caché pendant trois mois par ses parents, car ils avaient vu que l’enfant était beau, et ils n’eurent pas peur du décret du roi. Que dire encore ? Le temps me manquerait pour rappeler l’histoire de Gédéon, Barak, Samson, Jephté, David, Samuel et les prophètes. Par leur foi, ils ont conquis des royaumes, pratiqué la justice, obtenu la réalisation de certaines promesses. Ils ont fermé la gueule des lions, éteint la flamme des brasiers, échappé au tranchant de l’épée, retrouvé leurs forces après la maladie, montré du courage à la guerre, mis en fuite des armées étrangères. Des femmes dont les enfants étaient morts les ont retrouvés ressuscités. Mais certains autres ont été torturés et n’ont pas accepté la libération qui leur était proposée, car ils voulaient obtenir une meilleure résurrection. D’autres ont subi l’épreuve des moqueries et des coups de fouet, des chaînes et de la prison. Ils furent lapidés, sciés en deux, massacrés à coups d’épée. Ils allèrent çà et là, vêtus de peaux de moutons ou de toisons de chèvres, manquant de tout, harcelés et maltraités – mais en fait, c’est le monde qui n’était pas digne d’eux ! Ils menaient une vie errante dans les déserts et les montagnes, dans les grottes et les cavernes de la terre. Et, bien que, par leur foi, ils aient tous reçu le témoignage de Dieu, ils n’ont pas obtenu la réalisation de la promesse. En effet, pour nous Dieu avait prévu mieux encore, et il ne voulait pas les mener sans nous à la perfection.

Верою обитал он на земле обетованной, как на чужой, и жил в шатрах с Исааком и Иаковом, сонаследниками того же обетования; ибо он ожидал города, имеющего основание, которого художник и строитель Бог. Верою Авраам, будучи искушаем, принес в жертву Исаака и, имея обетование, принес единородного, о котором было сказано: в Исааке наречется тебе семя. Ибо он думал, что Бог силен и из мертвых воскресить, почему и получил его в предзнаменование. Верою в будущее Исаак благословил Иакова и Исава. Верою Иаков, умирая, благословил каждого сына Иосифова и поклонился на верх жезла своего. Верою Иосиф, при кончине, напоминал об исходе сынов Израилевых и завещал о костях своих. Верою Моисей по рождении три месяца скрываем был родителями своими, ибо видели они, что дитя прекрасно, и не устрашились царского повеления. И что еще скажу? Недостанет мне времени, чтобы повествовать о Гедеоне, о Вараке, о Самсоне и Иеффае, о Давиде, Самуиле и (других) пророках, которые верою побеждали царства, творили правду, получали обетования, заграждали уста львов, угашали силу огня, избегали острия меча, укреплялись от немощи, были крепки на войне, прогоняли полки чужих; жены получали умерших своих воскресшими; иные же замучены были, не приняв освобождения, дабы получить лучшее воскресение; другие испытали поругания и побои, а также узы и темницу, были побиваемы камнями, перепиливаемы, подвергаемы пытке, умирали от меча, скитались в ми́лотях и козьих кожах, терпя недостатки, скорби, озлобления; те, которых весь мир не был достоин, скитались по пустыням и горам, по пещерам и ущельям земли. И все сии, свидетельствованные в вере, не получили обещанного, потому что Бог предусмотрел о нас нечто лучшее, дабы они не без нас достигли совершенства.

Lecture de l’Évangile selon saint Matthieu (1, 1-25)

Livre de l’origine de Jésus Christ, fils de David, fils d’Abraham. Abraham engendra Isaac ; Isaac engendra Jacob ; Jacob engendra Juda et ses frères ; Juda engendra de Thamar Pharès et Zara ; Pharès engendra Esrom ; Esrom engendra Aram ; Aram engendra Aminadab ; Aminadab engendra Naasson ; Naasson engendra Salmon ; Salmon engendra Boaz de Rahab ; Boaz engendra Obed de Ruth ; Obed engendra Isaï ; Isaï engendra le roi David. David engendra Salomon de la femme d’Urie ; Salomon engendra Roboam ; Roboam engendra Abia ; Abia engendra Asa ; Asa engendra Josaphat ; Josaphat engendra Joram ; Joram engendra Ozias ; Ozias engendra Joatham ; Joatham engendra Achaz ; Achaz engendra Ezéchias ; Ezéchias engendra Manassé ; Manassé engendra Amon ; Amon engendra Josias ; Josias engendra Jéchonias et ses frères, au temps de la déportation à Babylone. Après la déportation à Babylone, Jéchonias engendra Salathiel ; Salathiel engendra Zorobabel ; Zorobabel engendra Abiud ; Abiud engendra Éliakim ; Éliakim engendra Azor; Azor engendra Sadok ; Sadok engendra Achim ; Achim engendra Éliud ; Éliud engendra Éléazar; Éléazar engendra Matthan ; Matthan engendra Jacob ; Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle fut engendré Jésus, qui est appelé Christ.

Il y a donc en tout quatorze générations depuis Abraham jusqu’à David, quatorze générations depuis David jusqu’à la déportation à Babylone, et quatorze générations depuis la déportation à Babylone jusqu’au Christ. De Jésus Christ, voici l’origine. Marie, sa mère, était fiancée à Joseph ; avant qu’ils n’aient habité ensemble, elle se trouva enceinte du saint Esprit. Joseph, son époux, qui était un juste et qui ne voulait pas la diffamer, voulut la renvoyer secrètement. Comme il y pensait, voici qu’un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit : « Joseph, fils de David, n’aie pas peur d’accueillir Marie, ton épouse, car ce qui est engendré en elle est du saint Esprit ; elle enfantera un fils, et tu l’appelleras du Nom de Jésus ; car c’est Lui qui sauvera son peuple de ses péchés. » Tout cela arriva pour que s’accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète : « Voici que la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on l’appellera du Nom d’Emmanuel, ce qui s’interprète : Dieu avec nous. » Éveillé de son sommeil, Joseph fit ce que l’ange du Seigneur lui avait ordonné, et il accueillit son épouse. Et il ne la connut pas jusqu’à ce qu’elle eut enfanté un fils ; et il appela celui-ci du Nom de Jésus.

Родословие Иисуса Христа, Сына Давидова, Сына Авраамова. Авраам родил Исаака; Исаак родил Иакова; Иаков родил Иуду и братьев его; Иуда родил Фареса и ару от Фамари; Фарес родил Есрома; Есром родил Арама; Арам родил Аминадава; Аминадав родил Наассона; Наассон родил Салмона; Салмон родил Вооза от Рахавы; Вооз родил Овида от Руфи; Овид родил Иессея; Иессей родил Давида царя; Давид царь родил Соломона от бывшей за Уриею; Соломон родил Ровоама; Ровоам родил Авию; Авия родил Асу; Аса родил Иосафата; Иосафат родил Иорама; Иорам родил Озию; Озия родил Иоафама; Иоафам родил Ахаза; Ахаз родил Езекию; Езекия родил Манассию; Манассия родил Амона; Амон родил Иосию; Иосия родил Иоакима; Иоаким родил Иехонию и братьев его, перед переселением в Вавилон. По переселении же в Вавилон, Иехония родил Салафииля; Салафииль родил Зоровавеля; Зоровавель родил Авиуда; Авиуд родил Елиакима; Елиаким родил Азора; Азор родил Садока; Садок родил Ахима; Ахим родил Елиуда; Елиуд родил Елеазара; Елеазар родил Матфана; Матфан родил Иакова; Иаков родил Иосифа, мужа Марии, от Которой родился Иисус, называемый Христос. Итак всех родов от Авраама до Давида четырнадцать родов; и от Давида до переселения в Вавилон четырнадцать родов; и от переселения в Вавилон до Христа четырнадцать родов. Рождество Иисуса Христа было так: по обручении Матери Его Марии с Иосифом, прежде нежели сочетались они, оказалось, что Она имеет во чреве от Духа Святаго. Иосиф же муж Ее, будучи праведен и не желая огласить Ее, хотел тайно отпустить Ее. Но когда он помыслил это,- се, Ангел Господень явился ему во сне и сказал: Иосиф, сын Давидов! не бойся принять Марию, жену твою, ибо родившееся в Ней есть от Духа Святаго; родит же Сына, и наречешь Ему имя Иисус, ибо Он спасет людей Своих от грехов их. А все сие произошло, да сбудется реченное Господом через пророка, который говорит: се, Дева во чреве приимет и родит Сына, и нарекут имя Ему Еммануил, что значит: с нами Бог. Встав от сна, Иосиф поступил, как повелел ему Ангел Господень, и принял жену свою, и не знал Ее, как наконец Она родила Сына Своего первенца, и он нарек Ему имя: Иисус.

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Lectures selon le calendrier grégorien (dimanche avant Théophanie) : 2 Tim 4,5-8 et Mc 1,1-8.

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Paroles des Pères

Dieu demeure fidèle à Son peuple en dépit de toutes les vicissitudes historiques et des péchés humains, aussi longtemps que l’homme a foi en Dieu. La généalogie du Christ, remontant jusqu’à Abraham comme elle est reportée par saint Matthieu (1, 1-16), ou jusqu’à Adam comme nous le lisons dans saint Luc (3, 23-28), témoigne de ce fait que la chaîne des générations conduisait à un but : la venue du Christ, le Messie ; que, dans le cadre du plan de Dieu pour l’histoire de l’humanité, la fertilité humaine était un moyen pour ramener l’homme à Dieu ; que, par conséquent, dans l’histoire biblique, le mariage n’était pas seulement une fonction déterminée sociologiquement ou par l’appétit physiologique, mais conduisait à ce moment où Dieu « de la racine de Jessé fit croître selon la chair la fleur d’éternelle virginité et, prenant chair de son sein, fut enfanté pour le salut du genre humain » (première prière de l’Office du Couronnement).

Dieu Lui-même est devenu homme : ceci est le but l’histoire d’Israël et la raison pour laquelle Dieu a béni Abraham et Sarah, Isaac et Rebecca, Jacob et Rachel, Joseph et Asneth, Zacharie et Elizabeth, Joachim et Anne.

La première longue prière de l’Office du Couronnement demande à Dieu de placer le fiancé et la fiancée en compagnie de ces couples saints, les ancêtres du Christ, de leur accorder la même bénédiction. En un sens, certainement, le Royaume de Dieu a déjà été révélé, et il ne résultera pas d’un événement historique futur ; mais tous les enfants de couples chrétiens sont appelés à devenir « membres du Christ », participants de Son Corps. Chacun d’eux, à sa manière personnelle, est appelé à expérimenter la présence de Dieu et à Le révéler au monde. De sorte que Dieu continue d’agir à travers la fertilité créative de l’humanité ; le « Temple de Son Corps » est encore en construction ; porter un enfant, c’est participer au Mystère du Christ.

– Jean Meyendorff, Marriage : an orthodox perspective, St Vladimir’s Seminary Press, New Yok, 1984.

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Dans son traité De la chair de Jésus-Christ, Tertullien s’oppose aux hérésies qui nient la réalité de l’incarnation du Christ ou qui affirment qu’il ne s’est pas incarné dans une chair semblable à la nôtre (Marcion, Valentin, Apellès), croyant qu’une chair aussi chargée d’imperfection ne peut convenir à la vie spirituelle du Christ. Ce faisant, ces hérétiques ne comprenaient pas que le Christ, étant Dieu, s’est fait chair pour sauver l’humanité et lui ouvrir la voie de la déification. Tertullien dans ce passage montre que les Écritures, comme la généalogie du Christ, témoignent la réalité de son incarnation.

L’Apôtre Paul met fin à cette discussion en déclarant que le Christ est de la postérité d’Abraham. D’Abraham ! à plus forte raison de David, qui est bien plus récent. Rapportant la promesse que les nations seront bénies au nom d’Abraham : « Toutes les nations de la terre seront bénies en celui qui sortira de toi », l’Apôtre ajoute : « L’Écriture ne dit pas : « en ceux qui sortiront de toi », comme si elle en eût voulu indiquer plusieurs, mais elle dit en parlant d’un seul : « en celui qui sortira de toi », c’est-à-dire le Christ. » Nous qui lisons et qui croyons ces témoignages, quelle qualité devons-nous et pouvons-nous assigner à la chair du Christ ? La même qu’à celle d’Abraham, indubitablement, puisque le Christ est la postérité d’Abraham ; la même qu’à celle de Jessé, puisque le Christ « est une fleur de la tige de Jessé » ; la même qu’à celle de David, puisque le Christ est un fruit du sang de David ; la même qu’à celle de Marie, puisque le Christ est sorti du sang de Marie ; faut-il remonter encore plus haut ? la même qu’à celle d’Adam, puisque le Christ « est le second Adam. » La conséquence veut donc que, soit l’on reconnaisse qu’ils ont eu tous une chair spirituelle pour que l’on puisse attribuer à Jésus-Christ un corps de même nature, soit que l’on nous accorde que la chair de Jésus-Christ n’a pas été de nature spirituelle, puisqu’elle n’est pas sortie d’une tige dont la chair ait été spirituelle.

Ainsi s’accomplit sous nos yeux la parole prophétique que Siméon prononça sur le Seigneur qui venait de naître : « Voici celui qui est établi pour la ruine et pour la résurrection de plusieurs en Israël, et comme un signe de contradiction. » C’est le signe de la naissance du Christ, annoncé par Isaïe : « Aussi le Seigneur vous donnera-t-il un signe ; une Vierge concevra et enfantera un Fils. »

– Tertullien, De la chair de Jésus-Christ, XXII-XXIII.

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Comme l’avait dit Isaïe : « Une tige sortira de la racine de Jessé, et une fleur s’élèvera de sa racine. Sur lui reposera l’Esprit de Dieu, Esprit de sagesse et d’intelligence, Esprit de conseil et de force, Esprit de science et de piété, et il sera rempli de l’Esprit de la crainte de Dieu. Il ne jugera pas selon l’apparence et ne condamnera pas d’après un ouï-dire, mais il rendra justice à l’humble et condamnera les grands de la terre. » Ailleurs encore Isaïe avait annoncé par avance son onction et la raison de celle-ci : « L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint pour porter la bonne nouvelle aux humbles ; il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, annoncer aux captifs la délivrance et aux aveugles la vue, proclamer une année de grâce du Seigneur et un jour de rétribution, consoler tous ceux qui se lamentent. » D’une part, en effet, en tant que le Verbe de Dieu était homme, issu de la racine de Jessé et fils d’Abraham, l’Esprit de Dieu reposait sur lui et il était oint pour porter la bonne nouvelle aux humbles ; d’autre part, en tant qu’il était Dieu, il ne jugeait pas selon l’apparence et ne condamnait pas d’après un ouï-dire — « il n’avait pas besoin qu’on lui rendît témoignage sur l’homme, parce qu’il savait ce qu’il y a dans l’homme » —, mais il consolait tous ceux qui se lamentaient, et, en accordant la délivrance à ceux que leurs péchés avaient rendus captifs, il les dégageait de ces liens dont Salomon avait dit : « Chacun est enserré par les liens de ses péchés ».

– Saint Irénée de Lyon, Contre les hérésies, livre III, première partie.

Synaxaire

Ce dimanche selon l’ancien calendrier, mémoire de la généalogie de Notre Seigneur Jésus-Christ. Engendré éternellement et de manière ineffable par le Père, le Fils Unique et Verbe de Dieu, qui s’est incarné pour notre salut, n’a pas de généalogie selon sa nature divine ; mais, selon son humanité, Jésus-Christ est le Fils de l’Homme. Il est apparu sur la terre comme le terme et l’accomplissement d’une longue préparation, quand Dieu eut apprêté un réceptacle assez pur et assez saint pour le recevoir : la Sainte Vierge Mère de Dieu. Le ciel et la terre, les peuples, les temps et les moments heureux ou malheureux, tout fut amené par Dieu à l’existence en une série bien ordonnée pour préparer ou annoncer cette venue. Depuis Adam, le premier homme, jusqu’à la Toute Sainte Mère de Dieu, les générations se sont succédées, selon le bon vouloir et l’élection divine, jusqu’à ce que vienne la plénitude des temps, le moment prévu par Dieu de toute éternité pour que naisse petit enfant Celui qui est à la fois Dieu éternel et homme sujet à la mort, le fruit de toutes les promesses et l’espoir de tous les Justes.

Saints célébrés selon le nouveau calendrier

Saint Gordien, martyr à Césarée de Cappadoce (304) ; saint Malachie, prophète (vers 450 av. J.-C.) ; sainte Geneviève, vierge, patronne de Paris (vers 500) ; saint Anthère, pape de Rome, martyr (236) ; saint Florent, évêque de Vienne, martyr (vers 275) ; saint Eustrade, abbé à Dijon (VI°) ; saint Blimond, moine fondateur de l’abbaye de Leucone (vers 660) ; sainte Bertille, veuve à Marolles en Flandre (687) ; saint Wenog, moine gallois ; saint Tewdrig, prince de Monmouth (V°-VI°).

Saints célébrés selon l’ancien calendrier

Sainte Julienne et ses compagnons, 500 hommes et 130 femmes, martyrs à Nicomédie (304) ; saint Pierre, métropolite de Moscou (1326) ; sainte Julienne, princesse de Viazma (1406) ; saint Procope, fol en Christ de Viatka (1628) ; saint Thémistocle de Myre en Lycie, martyr (251) ; saint Macaire le jeûneur, abbé de Khakhouli (XI°) ; saint Honorât, evêque de Toulouse (III°).